Cela faisait déjà quelque temps que nous discutions, Maître XXX et moi. Nous nous étions rencontrés une première fois dans un café. Nous avons longuement discutés. Puis, nous nous sommes revus pour une première séance ultra soft chez lui. Celle-ci s’étant très bien passée, j’avais accepté sa proposition de le revoir pour une séance un peu plus poussée.

J’attendais cette nouvelle rencontre avec impatience. J’avais tout prévu. Séance d’épilation deux jours avant pour ma petite personne au complet sauf le maillot. Cela, je n’en avais pas eu le courage. J’avais prévu un rasage de près le midi même, histoire que tout soit parfait.

Mais tout le monde le sait, rien ne se passe jamais comme prévu. Je dus quitter le travail plus tard que d’habitude et le rasage avait dû être oublié afin de ne pas louper mon bus. Je ne voulais pas arriver en retard. Pour moi, la ponctualité est la politesse des rois donc pas question d’être en retard. Bon si les transports s’y mettent je n’y pourrais rien, mais je ne serais pas responsable.

Je suis devant sa porte à 14h précise. Je sonne, il ouvre la porte et m’accueille avec un grand sourire. Il m’invite à entrer et me demande de lui donner ma veste. Une fois ceci fait, je pénètre dans le salon et il m’offre un verre que j’accepte avec plaisir. Nous discutons de tout et de rien pendant une bonne demi-heure. Je ne peux m’empêcher de le taquiner gentiment. Il me regarde l’air de dire, « vas-y joue ma belle ! ». Nous continuons encore un peu à discuter puis, il se lève et se place en face de moi.

_ Tu es toujours d’accord pour notre séance d’aujourd’hui ?

_ Oui, je le suis toujours. Répondis-je avec un grand sourire

_ Bien. Alors, debout Mademoiselle ! Ordonne t’il

Je m’exécute sans réfléchir. Il tourne autour de moi et me scrute. Puis, me demande de retirer ma jupe et mon chemisier. Je le fais sans trembler, comparé à la première fois.

_ Il y a de l’amélioration à ce que je vois. C’est bien ma belle. Mains sur la tête, maintenant. Dit-il en m’embrassant

J’obéis et il continue de m’observer. Il passe sa main sur mon soutien-gorge et sur ma culotte. Pendant tout ce temps, mes yeux étaient rivés au sol. Il m’attrape par le menton et me f o r c e à le regarder dans les yeux.

_ Je te veux nue. Pour le plaisir de mes yeux.

Je tremble, me retrouver nue devant quelqu’un n’est pas dans mes habitudes et je suis plutôt très pudique.

_ Est-ce que je t’ai déjà manqué de respect ou suis-je allé plus loin que ce que nous avions décidé ?

_ Non, monsieur.

Je prends une grande inspiration et me mets nue. Son regard brille puis s’arrête sur ma zone pubienne. Il approche sa main et dit :

_C’est dommage, tout était presque parfait !

_ Pardon Monsieur, J’avais prévu de….

_ Non ! Je ne veux pas d’excuse ! Dit-il en me mettant une claque sur les fesses

_ ….

_ Ce n’est pas bien grave. Ceci est réparable. Me dit-il en me regardant avec un grand sourire.

Il passe sa main doucement sur mon cou puis rafermit sa poigne sur mes cheveux. Il me conduit vers la table et m’ordonne de ne pas bouger. Il part dans la pièce d’à côté et revient cinq minutes plus tard avec un petit matelas, qu’il installe sur la table, deux cordes et des menottes en cuir. Il me tend les menottes et me dis :

_ Je veux que ce soit toi qui les mettent. Cela montre que tu me fais confiance.

_ Oui, Monsieur.

Le temps que je les passe à mes poignets, il est parti chercher quelque chose dans la salle de bain, passe devant moi vers la cuisine et revient les mains vides.

_ C’est bien, monte sur la table et allonge-toi sur le dos.

Une fois que je suis installée, il passe une corde dans les menottes et la passe sous la table et fait de même avec la seconde. Je suis jambes et bras écartés sur la table. Cependant, la position n’est pas désagréable, elle serait même plutôt confortable. Mais bon, je me sens honteuse ainsi exposée. Il passe doucement sa main sur mon ventre et part dans la cuisine.

J’entends le micro-onde se mettre en marche. Mais que fait-il ? Je ne suis pas inquiète, mais curieuse. Je le vois revenir deux minutes plus tard, avec une lampe frontale, une pince à épiler et un pot de cire. Oh oh, moi qui avait peur d’une sévère punition, je crois plutôt que je vais avoir droit à une épilation gratuite. Ma respiration s’accélère et je tourne vers lui un regard un peu inquiet.

_ Rassure-toi, je te promets que je serais très doux, je vais faire en sorte que cela ne te fasse pas trop mal.

_ Je ne l’ai jamais fait ici Monsieur. Justement à cause de la douleur.

_ Tu me fais confiance ? Je sais que tu as peur, mais je te promets que si tu me demandes d’arrêter, je le ferais. D’accord ?

_ Oui Monsieur.

Il me regarda avec un grand sourire et s’installa à la bonne hauteur pour s’occuper de mon minou. Il pose une première bande de cire. Celle-ci est à bonne température. Il me parle, me distrait, puis tout d’un coup, retire la bande d’un coup sec et pose rapidement sa main pour atténuer le feu. Je me suis tendue sous la douleur vive mais, cela n’a rien d’insupportable. Il me regarde, afin de savoir si il peut continuer. Je hoche la tête et il retourne à son ouvrage. Je ferme les yeux et mes pensées s’embrouillent. Je suis là, attachée et offerte en train de me faire épiler une partie très intime de mon anatomie.

D’un côté, je me sens honteuse ainsi offerte et exposée. Je ne peux rien lui cacher, vraiment rien. Et pourtant, je ne souhaite pas que la situation s’arrête de suite. Parce que en même temps, il s’occupe de moi. Et c’est agréable de se faire pouponner. Même si là, ce n’est pas vraiment le pouponnage le plus agréable mais quand même. Je me laisse porter par sa douceur. Il reste très doux et me demande régulièrement si ça va. Je ne dirais pas que ce n’est plus douloureux, mais la douleur est on ne peut plus supportable. Il me dit en plaisantant que le « déboisage » est fini. Je le regarde avec un petit regard noir.

_ Non, ce n’est pas fini Mademoiselle, il reste quelques rebelles dont je vais m’occuper ! Me dit-il en me montrant la pince

_ Mais, ils ne se voient quasiment pas !

_ Seriez-vous en train de discuter ma décision Mademoiselle ? Quand on fait quelque chose, on le fait bien ! dit-il en me mettant une claque sur le côté des fesses

Il continue mais me libère les jambes. Il est encore plus prés de mon minou et je sens mes joues rosirent, je ne suis pas habituée. Il passe une main caressante et rassurante sur mon ventre et reprends.

Après cinq bonnes minutes, il passe un peu de crème hydratante sur la zone rougie et libère mes mains.

_ Et voilà. Maintenant, vous êtes parfaite Mademoiselle !

Je me relève toujours aussi rouge. Il se rapproche de moi, puis m’attrape doucement par les cheveux et me rapproche de ses lèvres. Il me laisse faire le dernier pas, que je fais sans hésitation. Après ce baiser, il me fit me pencher en avant et me mit deux bonnes claques sur les fesses pour être venue sans être parfaite. Il me redresse et sourit.

La séance s’arrêtera là. A vrai dire, elle fut suffisamment forte en émotions mélangées.

Merci à Maître XXX pour ce moment très fort.

Hikari